Showing 1 - 10 of 8,371
evidence that foreign banking penetration can be associated with a contraction of banking credit, especially in countries with …
Persistent link: https://www.econbiz.de/10004998820
Persistent link: https://www.econbiz.de/10012390720
In this paper, we use the segmented conditional ICAPM (International Capital Asset Pricing Model) to study the emerging stock markets integration. To address this issue, we apply the asymmetric multivariate version of GARCH-BEKK with structural break of the variance. It allows to specify the...
Persistent link: https://www.econbiz.de/10008556924
. Therefore, following Forbes and Rigobon (2002) we distinguish convergence (as interdependence) from contagion. Long run …
Persistent link: https://www.econbiz.de/10005082520
In this paper, we aim to test the empirical validity of the QTM relationship for the Turkish economy. Using some contemporaneous time series estimation techniques, our estimation results reveal that stationarity characteristics of the velocities of currency in circulation and the broad money...
Persistent link: https://www.econbiz.de/10008554116
Analyse polémique des instructions administratives sur la finance islamique
Persistent link: https://www.econbiz.de/10008532652
Après deux années consécutives de baisse, la part du capital des sociétés françaises du CAC 40 détenue par les non-résidents s’est inscrite en hausse en 2009 à 42,3 %, après 40,2 % en 2008, revenant à un niveau proche de celui de 2002 (42,5%).
Persistent link: https://www.econbiz.de/10009209801
À fin 2008, le taux de détention de la capitalisation des sociétés françaises du CAC 40 par les non-résidents recule pour la deuxième année consécutive pour s’établir à 39,2 %, marquant une baisse de deux points par rapport à la fin de l’année 2007.
Persistent link: https://www.econbiz.de/10009225683
En 2010, la part des non-résidents dans le capital des sociétés françaises du CAC 40 (42,4 %) a légèrement baissé (– 2,2 points).
Persistent link: https://www.econbiz.de/10009228685
En 2005, la détention par les non-résidents du capital des principales sociétés cotées françaises a progressé de 2 points à 46,4 %, notamment sous l’effet des fusions et acquisitions transfrontalières initiées par des groupes français et financées en partie par échanges de titres.
Persistent link: https://www.econbiz.de/10009251274